Collectif du 3 de carreau
Trois raisons à cela :
Premièrement et avant tout parce que nous sommes trois.
Deuxièmement parce que dans la cartomancie classique le 3 de carreau évoque une réussite, une ambition satisfaite. Il est toujours l’aboutissement de tout projet ou initiative...
Troisièmement parce qu’André Breton a dit
L’astrologie est une très grande dame...
Dommage qu’aujourd’hui, au moins pour le vulgaire, trône à sa place une prostituée.
Premièrement et avant tout parce que nous sommes trois.
Deuxièmement parce que dans la cartomancie classique le 3 de carreau évoque une réussite, une ambition satisfaite. Il est toujours l’aboutissement de tout projet ou initiative...
Troisièmement parce qu’André Breton a dit
L’astrologie est une très grande dame...
Dommage qu’aujourd’hui, au moins pour le vulgaire, trône à sa place une prostituée.
La peinture est une pratique solitaire.
Le dialogue entre les peintres, rare, est précieux.
Parler de peinture, de sa peinture, de l’histoire de l’art, de l’air du temps...
Rapprochées au fil du temps par affinités électives, nos rencontres sont devenues un rituel hebdomadaire.
Là est née l’idée d’un collectif. Entamer un chemin, montrer nos peintures, les faire dialoguer ensemble.
Puis, peut-être, peindre, dessiner à 6 mains ? Pourquoi pas ?
Une aventure commence. Un chemin à trois qui ne pourra que nous surprendre.
Ce qui est le propre et le but de toute expression artistique.
Le dialogue entre les peintres, rare, est précieux.
Parler de peinture, de sa peinture, de l’histoire de l’art, de l’air du temps...
Rapprochées au fil du temps par affinités électives, nos rencontres sont devenues un rituel hebdomadaire.
Là est née l’idée d’un collectif. Entamer un chemin, montrer nos peintures, les faire dialoguer ensemble.
Puis, peut-être, peindre, dessiner à 6 mains ? Pourquoi pas ?
Une aventure commence. Un chemin à trois qui ne pourra que nous surprendre.
Ce qui est le propre et le but de toute expression artistique.
Aurélie Dekeyser
Formée en histoire de l’art à l’École du Louvre et aux pratiques artistiques de dessin et de peinture, elle est particulièrement intéressée par l‘art moderne (spécialité de ses études d’histoire de l’art). De 2005 à 2010, elle participe à de nombreuses actions de médiation et d’assistanat de commissariat d’expositions (La Force de l’Art au Grand Palais, On dirait le Sud au CRAC de Sète, index et annexes de la biographie de M. Duchamp chez Flammarion…). De 2010 à 2020, elle dessine et développe activement des fanzines de bande-dessinée et d’illustration.
Elle se consacre à la peinture depuis une dizaine d’années. Son travail pictural s’inspire de la réalité actuelle tout en tissant des liens avec la peinture classique, (renaissance italienne et flamande qu’elle a beaucoup étudiée), et l’art moderne du tournant du 20ème siècle principalement dans le choix des compositions, la synthèse des formes et la puissance de la couleur. Elle expose régulièrement son travail à Paris (Villa des Arts, Galerie du Génie de la Bastille, Galerie du 59 Rivoli...)
Elle est également enseignante et dispense de nombreux stages et ateliers à Paris, en France et à l’étranger.
Formée en histoire de l’art à l’École du Louvre et aux pratiques artistiques de dessin et de peinture, elle est particulièrement intéressée par l‘art moderne (spécialité de ses études d’histoire de l’art). De 2005 à 2010, elle participe à de nombreuses actions de médiation et d’assistanat de commissariat d’expositions (La Force de l’Art au Grand Palais, On dirait le Sud au CRAC de Sète, index et annexes de la biographie de M. Duchamp chez Flammarion…). De 2010 à 2020, elle dessine et développe activement des fanzines de bande-dessinée et d’illustration.
Elle se consacre à la peinture depuis une dizaine d’années. Son travail pictural s’inspire de la réalité actuelle tout en tissant des liens avec la peinture classique, (renaissance italienne et flamande qu’elle a beaucoup étudiée), et l’art moderne du tournant du 20ème siècle principalement dans le choix des compositions, la synthèse des formes et la puissance de la couleur. Elle expose régulièrement son travail à Paris (Villa des Arts, Galerie du Génie de la Bastille, Galerie du 59 Rivoli...)
Elle est également enseignante et dispense de nombreux stages et ateliers à Paris, en France et à l’étranger.
Jean Diego
Jean Diego intègre l’École Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris en 1990. Assistant du Département des peintures du musée du Louvre durant plusieurs années, il complète sa formation par une connaissance approfondie des peintres réalistes, qui, à la suite du Caravage, ont marqué l’art du XVIIème siècle. Une passion qui le mène en Espagne où, durant dix ans, il parcourt le pays et affine également sa connaissance de l’art populaire sacré. La pratique du portrait, dans laquelle il se spécialise, l’amène également à dialoguer avec l’œuvre d’artistes plus contemporains comme Morandi dont se rapprochent souvent ses premières œuvres.
Au tournant des années 2000, une commande de collectionneurs marocains lui offre l’occasion de découvrir cet «orient singulier» qu’avant lui, Delacroix ou Matisse ont exploré. Contre toute attente, sa pratique vole alors en éclat. L’huile cède la place à la gouache, la toile aux papiers découpés, et sa palette austère, à une frondaison de couleurs pures et lumineuses. Radical, ce mouvement l’amène à synthétiser ses acquis et à les mettre au service d’un univers singulier entièrement tourné vers le merveilleux. (Jérôme Buisson, historien de l’art)
Jean Diego intègre l’École Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris en 1990. Assistant du Département des peintures du musée du Louvre durant plusieurs années, il complète sa formation par une connaissance approfondie des peintres réalistes, qui, à la suite du Caravage, ont marqué l’art du XVIIème siècle. Une passion qui le mène en Espagne où, durant dix ans, il parcourt le pays et affine également sa connaissance de l’art populaire sacré. La pratique du portrait, dans laquelle il se spécialise, l’amène également à dialoguer avec l’œuvre d’artistes plus contemporains comme Morandi dont se rapprochent souvent ses premières œuvres.
Au tournant des années 2000, une commande de collectionneurs marocains lui offre l’occasion de découvrir cet «orient singulier» qu’avant lui, Delacroix ou Matisse ont exploré. Contre toute attente, sa pratique vole alors en éclat. L’huile cède la place à la gouache, la toile aux papiers découpés, et sa palette austère, à une frondaison de couleurs pures et lumineuses. Radical, ce mouvement l’amène à synthétiser ses acquis et à les mettre au service d’un univers singulier entièrement tourné vers le merveilleux. (Jérôme Buisson, historien de l’art)
Michaël Jourdet
Né en 1980 au Blanc-Mesnil, vit et travaille à Meaux. Après une licence en arts plastiques à la Sorbonne, Michaël Jourdet intègre l’École Supérieure d’Arts de Rueil-Malmaison. Après l’obtention d’un DNAP en 2003, il intègre les beaux-arts de Paris, puis reçoit les Félicitations du jury lors de son DNSAP en 2007. Depuis 2008, il expose régulièrement à Paris et en France : le 104, la Gaîté Lyrique, la Galerie le Plateau, les Abattoirs de Toulouse… et participe, à différentes structures ou associations artistiques telles que l’association Jeune Création ou le Collectif Ring.
L’ enseignement de Claude Rutault et les écrits de K. Malevitch, en début de son parcours, dirigent son travail plastique vers la peinture conceptuelle. Les notions de cadre, de surface et d’écran restent les bases de ses propositions plastiques. Il enseigne la peinture depuis 2011, puis au sein de la Prépa Via Ferrata des Beaux Arts de Paris, depuis 2016.
Né en 1980 au Blanc-Mesnil, vit et travaille à Meaux. Après une licence en arts plastiques à la Sorbonne, Michaël Jourdet intègre l’École Supérieure d’Arts de Rueil-Malmaison. Après l’obtention d’un DNAP en 2003, il intègre les beaux-arts de Paris, puis reçoit les Félicitations du jury lors de son DNSAP en 2007. Depuis 2008, il expose régulièrement à Paris et en France : le 104, la Gaîté Lyrique, la Galerie le Plateau, les Abattoirs de Toulouse… et participe, à différentes structures ou associations artistiques telles que l’association Jeune Création ou le Collectif Ring.
L’ enseignement de Claude Rutault et les écrits de K. Malevitch, en début de son parcours, dirigent son travail plastique vers la peinture conceptuelle. Les notions de cadre, de surface et d’écran restent les bases de ses propositions plastiques. Il enseigne la peinture depuis 2011, puis au sein de la Prépa Via Ferrata des Beaux Arts de Paris, depuis 2016.